Vers Nazca
¡Que Calor!
Revenons quelque peu a la soiree d'hier. Nous avons donne rendez-vous a la bande de chiliens pour un petit Burger King : ils etaient aussi emballes que nous. Nous avons pu converser sur la vie au Chili et les differences avec la France. Une chose est sure : nous avons la garantie d'avoir des guides sympas pour un prochain voyage au Chili et notamment a Santiago (Steph...A quand le mariage au Chili?!!!). La comprehension entre nous tous etait loin d'etre aisee puisque seule Francisca parle le francais et nous ne parlons que tres peu l'espagnol. C'est un regret pour ce periple : la prise de contact n'est pas facile.
L'anglais nous sauve parfois lorsque la situation est dans l'impasse mais peu de personne parle bien l'anglais sauf les touristes! Je vais peut-etre reclamer une formation en rentrant!
Lundi 3 Fevrier
La journee est consacree au transfert en bus vers Nazca : 10 heures de bus durant lesquelles nous avons longe la cote pacifique sur la panamericaine qui relie la Patagonie a l'Alaska. Le paysage est desertique et il n'existe pas d'infrastructure touristique pour exploiter le front de mer...Il y a surement de l'argent a se faire! Cette fois-ci, pas de marchand ambulant dans le bus auquel ils n'ont pas acces. C'est de l'exterieur qu'ils proposent leurs produits. Avant d'arriver a Nazca, nous traversons la partie la plus desertique qui ressemble parfois au Sahara. Sur la route s'amoncele le sable :cela ne semble gener personne.
Encore un exemple de la mentalite locale : qui peut le moins, peut le moins. Sur le trajet nous sommes un peu choques par le tas de detritus qui jonchent le sol : bouteilles en plastique et meme couches sales. Rien d'etonnant lorsque l'on voit les peruviens jeter ce qui les encombrent par les fenetres du bus. Vers 19:30 nous effectuons un ultime arret, le chauffeur de bus doit se sustenter. Une demi-heure plus tard nous repartons et constatons que notre terminus ne se situe qu'a quelques centaines de metres de la. Enfin a bon port, nous nous hatons de reserver nos billets pour survoler les lignes de Nazca et ceux pour le transfert vers Pisco le lendemain.
Revenons quelque peu a la soiree d'hier. Nous avons donne rendez-vous a la bande de chiliens pour un petit Burger King : ils etaient aussi emballes que nous. Nous avons pu converser sur la vie au Chili et les differences avec la France. Une chose est sure : nous avons la garantie d'avoir des guides sympas pour un prochain voyage au Chili et notamment a Santiago (Steph...A quand le mariage au Chili?!!!). La comprehension entre nous tous etait loin d'etre aisee puisque seule Francisca parle le francais et nous ne parlons que tres peu l'espagnol. C'est un regret pour ce periple : la prise de contact n'est pas facile.
L'anglais nous sauve parfois lorsque la situation est dans l'impasse mais peu de personne parle bien l'anglais sauf les touristes! Je vais peut-etre reclamer une formation en rentrant!
Lundi 3 Fevrier
La journee est consacree au transfert en bus vers Nazca : 10 heures de bus durant lesquelles nous avons longe la cote pacifique sur la panamericaine qui relie la Patagonie a l'Alaska. Le paysage est desertique et il n'existe pas d'infrastructure touristique pour exploiter le front de mer...Il y a surement de l'argent a se faire! Cette fois-ci, pas de marchand ambulant dans le bus auquel ils n'ont pas acces. C'est de l'exterieur qu'ils proposent leurs produits. Avant d'arriver a Nazca, nous traversons la partie la plus desertique qui ressemble parfois au Sahara. Sur la route s'amoncele le sable :cela ne semble gener personne.
Encore un exemple de la mentalite locale : qui peut le moins, peut le moins. Sur le trajet nous sommes un peu choques par le tas de detritus qui jonchent le sol : bouteilles en plastique et meme couches sales. Rien d'etonnant lorsque l'on voit les peruviens jeter ce qui les encombrent par les fenetres du bus. Vers 19:30 nous effectuons un ultime arret, le chauffeur de bus doit se sustenter. Une demi-heure plus tard nous repartons et constatons que notre terminus ne se situe qu'a quelques centaines de metres de la. Enfin a bon port, nous nous hatons de reserver nos billets pour survoler les lignes de Nazca et ceux pour le transfert vers Pisco le lendemain.
Désert
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