Taquile la sauvage
La noche es fria!
Mardi 28 Janvier
Inutile de preciser que le lever fut matinal. Aujourd'hui l'ile de Taquile sur le lac Titicaca nous attend. Nous apprehendons le voyage en bateau (4 heures) car brume epaisse et pluie ont envahi l'horizon. Nos craintes sont majorees au moment ou nous penetrons dans le "bateau" dont la cabine est occupee par quelques autochtones et leur chargement et aui surtout laisse s'ecouler les gouttes d'eau. Je reflechis deja a la maniere la plus propre de vomir...sac plastique, course rapide sur le pont,...20 minutes apres le depart, nous voguons dans le parc des Uros : il s'agit d'une multitudes de petites iles flottantes construites par l'homme grace a une superposition de roseaux coupes. Nous faisons une courte escale sur l'une d'elles ou nous attendent de petits etalages d'artisanat local. Le tourisme est passe par la!
Le voyage continue pendant plus de 3 heures, les peruviens qui nous accompagnent grignotent un tas de chose : du pain, des feuilles de coca, des fruits,...Ceci explique peut-etre les rondeurs du posterieur des peruviennes! Quant a nous, nous preferons dormir pour chasser le mal de mer. Tiens on ecope sur le pont!
La pluie s'est arretee. C'est sous un magnifique soleil que nous achevons notre transfert : enfin l'ile Taquile. Nous posons pieds a terre et entreprenons la grimpette qui mene au sommet de l'ile, au village : pas facile a 4000 metres d'altitude et sous un soleil de plomb! Nous nous acquittons du prix de l'entree sur l'ile et nous nous enregistrons comme invite pour la nuit. Nous sommes emmenes chez notre hote. Un petit batiment de 2 etages, 6 chambres, nous est presente, le tout derriere un resto. Nous dejeunons sur un petit muret et avons la desagreable sensation d'etre noyes dans une horde de touristes.
Finalement, nous decidons d'aller explorer l'ile : un chemin balise nous mene de l'autre cote de l'ile. Pour le reste du parcours, il faut improviser car pas de "Camino" mais nous sommes seuls au monde! Nous pouvons pleinement apprecie cet ilot flanque au milieu du lac et dont l'horizon est compose de montagnes et pics enneiges (La Bolivie n'est pas loin). De retour au village apres 3 heures de marche, nous nous installons sur la place principale, au soleil. La encore nous savourons le calme qui y regne. Hormis les quelques enfants qui jouent, pas de bruit car ici pas de voitures, pas de mobylettes et pas de chiens. Mais le soleil se couchant, il commence a faire tres frais. Nous rentrons nous reposer avant le diner. La lampe de poche est ici vitale car l'electricite est rare et les ruelles rocailleuses et sineuses. Le diner est rapide, servi dans le resto communautaire de l'ile : tous les benefs sont entierement reverses a la communaute (ainsi que ceux generes par l'hebergement des touristes).
Nous voici enfin au lit, il est 20:15!!!! Noutre couchage nous paraissait correct avant que l'on ne s'y allonge. Les lattes du sommier ont cede! Tant pis nos sacs de couchage sont chauds et nous sommes tous les deux, tout va bien.
Mardi 28 Janvier
Inutile de preciser que le lever fut matinal. Aujourd'hui l'ile de Taquile sur le lac Titicaca nous attend. Nous apprehendons le voyage en bateau (4 heures) car brume epaisse et pluie ont envahi l'horizon. Nos craintes sont majorees au moment ou nous penetrons dans le "bateau" dont la cabine est occupee par quelques autochtones et leur chargement et aui surtout laisse s'ecouler les gouttes d'eau. Je reflechis deja a la maniere la plus propre de vomir...sac plastique, course rapide sur le pont,...20 minutes apres le depart, nous voguons dans le parc des Uros : il s'agit d'une multitudes de petites iles flottantes construites par l'homme grace a une superposition de roseaux coupes. Nous faisons une courte escale sur l'une d'elles ou nous attendent de petits etalages d'artisanat local. Le tourisme est passe par la!
Le voyage continue pendant plus de 3 heures, les peruviens qui nous accompagnent grignotent un tas de chose : du pain, des feuilles de coca, des fruits,...Ceci explique peut-etre les rondeurs du posterieur des peruviennes! Quant a nous, nous preferons dormir pour chasser le mal de mer. Tiens on ecope sur le pont!
La pluie s'est arretee. C'est sous un magnifique soleil que nous achevons notre transfert : enfin l'ile Taquile. Nous posons pieds a terre et entreprenons la grimpette qui mene au sommet de l'ile, au village : pas facile a 4000 metres d'altitude et sous un soleil de plomb! Nous nous acquittons du prix de l'entree sur l'ile et nous nous enregistrons comme invite pour la nuit. Nous sommes emmenes chez notre hote. Un petit batiment de 2 etages, 6 chambres, nous est presente, le tout derriere un resto. Nous dejeunons sur un petit muret et avons la desagreable sensation d'etre noyes dans une horde de touristes.
Finalement, nous decidons d'aller explorer l'ile : un chemin balise nous mene de l'autre cote de l'ile. Pour le reste du parcours, il faut improviser car pas de "Camino" mais nous sommes seuls au monde! Nous pouvons pleinement apprecie cet ilot flanque au milieu du lac et dont l'horizon est compose de montagnes et pics enneiges (La Bolivie n'est pas loin). De retour au village apres 3 heures de marche, nous nous installons sur la place principale, au soleil. La encore nous savourons le calme qui y regne. Hormis les quelques enfants qui jouent, pas de bruit car ici pas de voitures, pas de mobylettes et pas de chiens. Mais le soleil se couchant, il commence a faire tres frais. Nous rentrons nous reposer avant le diner. La lampe de poche est ici vitale car l'electricite est rare et les ruelles rocailleuses et sineuses. Le diner est rapide, servi dans le resto communautaire de l'ile : tous les benefs sont entierement reverses a la communaute (ainsi que ceux generes par l'hebergement des touristes).
Nous voici enfin au lit, il est 20:15!!!! Noutre couchage nous paraissait correct avant que l'on ne s'y allonge. Les lattes du sommier ont cede! Tant pis nos sacs de couchage sont chauds et nous sommes tous les deux, tout va bien.
Les îles Uros
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