Pérou

25.1.03

Las Salinas & Pisac

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Jeudi 24 Janvier :

Les levers sont de plus en plus durs...nous comattons jusqu'a 8h. Nous decidons de partir visiter,sans etre sur d'y arriver, Las Salinas, puits qui servent depuis l'epoque Inca a l'extraction du sel. Toutes les agences nous ayant certifie que le seul moyen d'y parvenir etait de louer les services d'un chauffeur/guide. Nous reprenons le bus en direction d'Urubamba.
A l'arrivee au terminal, nous rencontrons deux suisses qui ont la meme destination. Nous decidons de partager les services d'un taxi qui nous attendra pendant les visites. Nous suivons la piste en mauvais etat jusqu'a Las Salinas : le chauffeur y va franco et n'a pas peur de fausser la direction de sa voiture. Quand nous parvenons au site, il s'improvise guide et se revele assez bon. Il nous explique que l'eau salee provient d'une source d'eau chaude situee au sommet de la vallee. La provenance du sel reste mysterieuse, probablement de l'ere glaciere. En periode de fortes chaleurs, les bassins sont blancs, recouverts de sels. La production est stoppee pendant les mois d'ete a cause des trop fortes pluies qui empechent la cristalisation du sel.
Nous visitons ensuite le site de Moray constitue de cuvettes en terrasses. Celles-ci jouissent chacune d'un micro-climat different ce qui permit aux Incas de determiner les conditions optimales pour leurs cultures. Nous redescendons a Urubamba et promettons a Nicolas, un des deux suisses, d'envoyer un mail avec une photo prise pendant ces visites communes a son fils de 6 ans, Tom, reste en Suisse.
Nous reprenons le bus pour Pisac, ville situee a 32 km au nord de Cuzco, et principalement connue pour son marche du Dimanche et ses ruines. Nous sommes Vendredi (C'est bien ca?!) ce sera donc les ruines. Un taxi nous depose a leurs pieds. Nous sommes toujours aussi emerveilles par l'ingenuosite des incas. Nous redescendons a Pisac par un chemin escarpe et pentu pour reprendre un dreniere fois le bus (pour aujourd'hui) afin de rentrer a Cuzco.
Nous terminons la soiree au resto du Breton qui nous offre l'apero : une bonne Cusqueña, biere douce de production locale. Il nous parle des conditions economiques du Perou, de ses projets humanitaires et de la trop grande grogne des francais qui se plaignent pour un rien et qui l'a pousse a quitter la France. Il est 22:30, beaucoup trop tard pour vous ecrire.




Las Salinas


Moray